Le logement en copropriété représente environ 8,5 millions de logement en France. Le mode même de gestion en commun d’une résidence parfois considérable ou complexe pose question.
Si l’entretien des parties privatives est l’affaire de tous, la gestion des parties communes est l’affaire de chacun. Or, chacun a des intérêts ou des avis divergents des autres copropriétaires. Quand on ajoute à cela un modèle de la copropriété basé le plus souvent sur un avis majoritaire, on intègre rapidement que la réalisation de travaux dans les immeubles relève le plus souvent d’une conjoncture favorable très éphémère.
Le modèle même de la copropriété repose sur la juxtaposition d’individualités que la gestion par un syndic ne vient pas trancher ou arbitrer ; ce n’est pas son rôle.
Tout continuerait à aller ainsi sans trois phénomènes plus ou moins récents qui interpellent les Pouvoirs Publics :
- Le vieillissement des copropriétés issues de la reconstruction,
- L’accession à la propriété par la copropriété pour des ménages aux revenus modérés,
- La vente massive du patrimoine du logement social sous forme de copropriétés
Si en province, les cas de copropriétés dites dégradées et devenues ingérables se limitent à quelques cas, la multiplication des exemples en région parisienne a poussé le législateur à prendre des mesures qui s’appliquent partout sur le territoire.
La gestion de patrimoine pour le compte de foncière ou de bailleurs sociaux est dans la culture de TeKimo. C’est ce mode de gestion que les Pouvoirs Publics apprécient et encouragent. C’est cette compétence qui vous est aujourd’hui disponible.